- EAN13
- 9782491008154
- ISBN
- 978-2-491-00815-4
- Éditeur
- DES INSTANTS
- Date de publication
- 05/10/2023
- Nombre de pages
- 280
- Dimensions
- 21 x 13 x 1,8 cm
- Poids
- 276 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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19.00
Premier février 1767. L’Étoile, navire ravitailleur, appareille de Rochefort pour rejoindre la Boudeuse, commandée par Bougainville, et entreprendre la première circumnavigation française. A son bord s’est faufilée une jeune femme travestie en homme : Jeanne Barret. Elle est la première femme connue à avoir effectué un tour du monde. Connue, ou méconnue ? Grande amoureuse, scientifique oubliée, pionnière féministe... qui est Jeanne Barret ?
S’appuyant sur les éléments historiques avérés, l’auteur nous livre un journal de bord imaginaire de « Dame Barret », Le voyage de Jeanne. Récit d’une navigation, avec ses péripéties, sa vie à bord, ses escales où l’on découvre lieux, paysages et moeurs par les yeux d’une observatrice d’origine modeste, en ce XVIIIe siècle si dur pour les humbles, pour les femmes. Souffrant ce que souffrent les marins sur un navire bondé et insalubre, asphyxiant sa féminité pour jouer son rôle de valet puis, une fois démasquée, soumise à mille dangers (elle dort avec deux pistolets), elle gardera, selon les témoignages de l’époque, un comportement irréprochable et une grande force de caractère. Décrite comme vive, active, pleine d’entrain, elle a si fortement marqué ses contemporains que Louis XVI, lui accordant une pension royale en 1785, la désignera comme « femme extraordinaire ».
S’appuyant sur les éléments historiques avérés, l’auteur nous livre un journal de bord imaginaire de « Dame Barret », Le voyage de Jeanne. Récit d’une navigation, avec ses péripéties, sa vie à bord, ses escales où l’on découvre lieux, paysages et moeurs par les yeux d’une observatrice d’origine modeste, en ce XVIIIe siècle si dur pour les humbles, pour les femmes. Souffrant ce que souffrent les marins sur un navire bondé et insalubre, asphyxiant sa féminité pour jouer son rôle de valet puis, une fois démasquée, soumise à mille dangers (elle dort avec deux pistolets), elle gardera, selon les témoignages de l’époque, un comportement irréprochable et une grande force de caractère. Décrite comme vive, active, pleine d’entrain, elle a si fortement marqué ses contemporains que Louis XVI, lui accordant une pension royale en 1785, la désignera comme « femme extraordinaire ».
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