La Cité, 1, La lumière blanche

Karim Ressouni-Demigneux

Rue du Monde

  • Conseillé par (Libraire)
    29 mars 2013

    Voici un roman d’anticipation pour les férus de jeux vidéos, et même pour ceux qui le sont moins.

    Pourquoi ? Parce que dans ce roman se trouve un jeu vidéo qui fait pâlir d’envie, Second Life à côté parait bien morne. Parce qu’il est question d’amitié, un peu d’amour aussi, de deuil... Et parce que ce livre tient en haleine du début à la fin, et que l’on ressent une grande frustration lorsqu’on le ferme sur ces deux mots : "à suivre". [1]

    Le jeu "La Cité" a été annoncé à grand renfort d’affiches publicitaires diffusées à chaque station de métro et coin de rue, toutes plus mystérieuses les unes que les autres, et promettant un nouveau jeu vidéo révolutionnaire.

    Thomas et un ami, deux ados de 15 ans, seront conquis comme un million d’autres personnes dans le monde.

    Le concept est simple : il s’agit de se créer un personnage, de se connecter à cet univers virtuel, et d’y faire évoluer à sa guise son avatar. Dans la cité, on fait des rencontres, on découvre ses "pouvoirs", tout parait possible, réalisable, magique et pourtant tellement réel.
    Néanmoins, peu à peu, des règles explicites ou tacites semblent se dessiner, comme celle qui impose de ne jamais parler de sa vie réelle... sinon la lumière blanche apparait et...

    Une histoire bien ficelée et  prenante, une écriture facile, et des personnages attachants, tout est présent dans ce roman pour ne pas s'ennuyer. Prenez garde, vous allez avoir un mal fou pour décrocher de ce livre comme Thomas à du mal à quitter le jeu vidéo.
     A découvrir à partir de 12 ans