- EAN13
- 9782234083783
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 30/08/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Stock 25,00
« Prénom ? Roman, Romain, Romouchka, Émile.
Nom de famille ? Kacew, de Kacew, Gari, Gary, Ajar, Sinibaldi, Bogat.
Lieu de naissance : Wilno, Koursk, Moscou, steppes russes, en 1914, en mai, en
décembre, dans l’après-midi… »
Difficile de mettre de l’ordre dans la biographie hors norme de Romain Gary,
unique auteur à avoir reçu deux fois le Prix Goncourt (pour Les Racines du
Ciel et La Vie devant soi), diplomate, scénariste, pilote de guerre,
voyageur. Homme célèbre qui s’est suicidé en 1980 après une carrière
littéraire fulgurante. Mystificateur. Enfin, illusionniste qui jonglait avec
les faits et les inventions, avec ses histoires et celles qu’il entendait,
créateur infatigable de son opus magnum : sa propre biographie.
Seule Agata Tuszy ska, l’autrice de Wiera Gran l’Accusée et de La Fiancée
de Bruno Schulz pouvait relever ce défi ! Elle se met en scène, enquête pour
chercher la vérité, tente de dévoiler les nombreux portraits de son personnage
et engage avec lui un dialogue tout en essayant de résoudre les mystères de
l’identité juive de l’auteur de La Promesse de l’aube – et de la sienne.
Elle évoque sa mère dominatrice et fascinante, Nina Owczy ska, leur séjour de
plusieurs années à Varsovie dans les années 1920, la route pour Nice, les deux
mariages tempétueux de l’écrivain (dont celui avec la star de Hollywood Jean
Seberg), sa carrière artistique et celle de diplomate. Elle raconte sa
faiblesse pour les pseudonymes, les destins parallèles et le jeu.
Dans Le Jongleur, Agata Tuszy ska peint un portrait unique de Romain Gary, et
montre comment son personnage va au-delà des limites de la pirouette
artistique et des responsabilités humaines. Jongler devient ainsi la métaphore
de l’art.
Traduit du polonais par Isabelle Jannès-Kalinowski
Nom de famille ? Kacew, de Kacew, Gari, Gary, Ajar, Sinibaldi, Bogat.
Lieu de naissance : Wilno, Koursk, Moscou, steppes russes, en 1914, en mai, en
décembre, dans l’après-midi… »
Difficile de mettre de l’ordre dans la biographie hors norme de Romain Gary,
unique auteur à avoir reçu deux fois le Prix Goncourt (pour Les Racines du
Ciel et La Vie devant soi), diplomate, scénariste, pilote de guerre,
voyageur. Homme célèbre qui s’est suicidé en 1980 après une carrière
littéraire fulgurante. Mystificateur. Enfin, illusionniste qui jonglait avec
les faits et les inventions, avec ses histoires et celles qu’il entendait,
créateur infatigable de son opus magnum : sa propre biographie.
Seule Agata Tuszy ska, l’autrice de Wiera Gran l’Accusée et de La Fiancée
de Bruno Schulz pouvait relever ce défi ! Elle se met en scène, enquête pour
chercher la vérité, tente de dévoiler les nombreux portraits de son personnage
et engage avec lui un dialogue tout en essayant de résoudre les mystères de
l’identité juive de l’auteur de La Promesse de l’aube – et de la sienne.
Elle évoque sa mère dominatrice et fascinante, Nina Owczy ska, leur séjour de
plusieurs années à Varsovie dans les années 1920, la route pour Nice, les deux
mariages tempétueux de l’écrivain (dont celui avec la star de Hollywood Jean
Seberg), sa carrière artistique et celle de diplomate. Elle raconte sa
faiblesse pour les pseudonymes, les destins parallèles et le jeu.
Dans Le Jongleur, Agata Tuszy ska peint un portrait unique de Romain Gary, et
montre comment son personnage va au-delà des limites de la pirouette
artistique et des responsabilités humaines. Jongler devient ainsi la métaphore
de l’art.
Traduit du polonais par Isabelle Jannès-Kalinowski
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