- EAN13
- 9782296299962
- Éditeur
- Éditions L'Harmattan
- Date de publication
- 12/1995
- Collection
- Mémoires africaines
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 25,00
" Nul n'a le droit d'effacer une seule page de l'Histoire d'un pays ", donc de
l'Histoire d'un peuple à travers la politique de ses dirigeants, même les plus
controversés. Pages sombres comme pages de gloire font partie de l'héritage -
et même de l'hérédité nationale - transmis aux jeunes générations pour
qu'elles en fassent leur profit. Fort de ce principe, l'auteur " revisite "
donc l'Histoire du Cameroun " sous le règne d'Ahidjo ", avec son expérience
propre d'homme de confiance du Président (1969-1982) et, auparavant, durant la
phase préparatoire à l'accès au cabinet du chef de l'Etat (1969-1974). Il nous
révèle ainsi la face cachée du personnage et de ses prises de décision, cette
" petite histoire " qui éclaire beaucoup l'Histoire officielle. C'est en fait
la logique d'un pouvoir autoritaire qui est ici démontée, avec l'assurance
qu'a l'auteur d'avoir côtoyé et servi un personnage d'envergure. Veut-il "
réhabiliter " Ahidjo ? Non, prévient-il, car l'Histoire, seule, jugera.
l'Histoire d'un peuple à travers la politique de ses dirigeants, même les plus
controversés. Pages sombres comme pages de gloire font partie de l'héritage -
et même de l'hérédité nationale - transmis aux jeunes générations pour
qu'elles en fassent leur profit. Fort de ce principe, l'auteur " revisite "
donc l'Histoire du Cameroun " sous le règne d'Ahidjo ", avec son expérience
propre d'homme de confiance du Président (1969-1982) et, auparavant, durant la
phase préparatoire à l'accès au cabinet du chef de l'Etat (1969-1974). Il nous
révèle ainsi la face cachée du personnage et de ses prises de décision, cette
" petite histoire " qui éclaire beaucoup l'Histoire officielle. C'est en fait
la logique d'un pouvoir autoritaire qui est ici démontée, avec l'assurance
qu'a l'auteur d'avoir côtoyé et servi un personnage d'envergure. Veut-il "
réhabiliter " Ahidjo ? Non, prévient-il, car l'Histoire, seule, jugera.
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