On ne m'a pas volé l'Everest
EAN13
9782352213062
Éditeur
Guérin
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Fiches UNIMARC
S'identifier

On ne m'a pas volé l'Everest

Guérin

Indisponible

Autre version disponible

En 1988, la Néo-Zélandaise Lydia Bradey devient la première femme à réussir
l'Everest sans oxygène, mais son exploit est " effacé " par des compagnons
d'expédition jaloux, qui l'accusent d'avoir menti. Ce texte raconte la vie
d'une femme à l'énergie indomptable, courageuse dans l'épreuve, élégante dans
le triomphe. Un vrai polar d'altitude, et une formidable autobiographie, d'une
sensibilité très féminine (et féministe).
" Pourquoi ont-ils fait ça ? Pourquoi ont-ils dit que je n'avais pas gravi
l'Everest ? "

1988  : une jeune femme de 27 ans redescend du sommet de l'Everest, tout
sourire sous ses dreadlocks blondes. Elle est la première femme au monde à
réussir cet exploit sans oxygène. Mais que se passe-t-il ? Pourquoi ses
compagnons ont-ils déserté la montagne alors qu'elle se trouvait encore,
seule, dans la zone de la mort ? Et pourquoi, contre toute évidence,
affirment-ils qu'elle a menti, elle dont la sincérité dérange ?
Lydia Bradey a passé des années à chercher les réponses à ces questions, et
près de trente ans à les écrire avec l'aide de son amie auteur, Laurence
Fearnley. Et la plus belle réponse est sa vie intense traversée par sa
relation puissante et dérangeante avec Royce, cette mère qui l'a élevée seule
; par sa passion dévorante pour l'alpinisme, avec un talent inné pour
l'altitude ; par sa trace en zigzag dans un Himalaya souvent macho où elle se
promène en dansant, sans jamais s'user mais pas sans efforts. Adolescente,
elle jouera des coudes pour entrer au club alpin qui n'accepte alors pas les
femmes ; plus tard, elle se fera sermonner avant l'arrivée au camp de base de
l'Everest pour s'assurer qu'elle reste à sa place...
2019  : Lydia Bradey est guide de haute montagne et se dresse pour la sixième
fois de sa vie sur le Toit du monde, avec une cliente. Presque au même
instant, la photo d'une hallucinante file d'attente est diffusée en direct sur
les réseaux sociaux, mais Lydia, comme toujours, a tracé sa voie loin de la
cohue.
S'identifier pour envoyer des commentaires.