- EAN13
- 9782702146347
- Éditeur
- Calmann-Lévy
- Date de publication
- 08/02/2006
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Calmann-Lévy 15,90
En 1942, Gabriel et sa famille, des Juifs polonais émigrés en France, tentent
de survivre dans Paris occupé par les Allemands, qui les privent de leurs
moyens d’existence et de leur dignité. Pas encore de leur vie.
Gabriel n’a que quatorze ans quand, au matin du 16 juillet, les Juifs de
Paris sont raflés par la police française aux ordres des nazis. On les
transfère au Vélodrome d’Hiver, dans le XVe arrondissement. Comment se
douteraient-ils que le Vél’d’Hiv’ sera la première étape sur la route de
l’extermination?
Pour eux, la solution finale débute ici, à cinq cents mètres de la tour
Eiffel, dans ce vélodrome où l’on entasse treize mille personnes, hommes,
femmes, enfants, vieillards, sans sanitaires suffisants, sans nourriture, sans
intimité ni endroit pour dormir et avec pour toute réponse à leurs cris de
colère et de détresse un peloton de gardes républicains armés et résolus.
Beaucoup se découragent. Pas Gabriel Wachman. Il finit par trouver un moyen de
s’échapper. Pour lui, il n’y aura pas d’Auschwitz, mais tout de même la peur,
les collabos, l’abandon, le monde hostile et cette immense douleur de ne rien
savoir de tous les siens. Il lui faudra tenir jusqu’à la fin de la guerre.
Gabriel Wachman demeure aujourd’hui l’un des rares survivants du Vél’d’Hiv.
Il nous le raconte dans un témoignage historique, poignant et inédit, enrichi
par l’écriture forte d’un auteur reconnu, Daniel Goldenberg.
de survivre dans Paris occupé par les Allemands, qui les privent de leurs
moyens d’existence et de leur dignité. Pas encore de leur vie.
Gabriel n’a que quatorze ans quand, au matin du 16 juillet, les Juifs de
Paris sont raflés par la police française aux ordres des nazis. On les
transfère au Vélodrome d’Hiver, dans le XVe arrondissement. Comment se
douteraient-ils que le Vél’d’Hiv’ sera la première étape sur la route de
l’extermination?
Pour eux, la solution finale débute ici, à cinq cents mètres de la tour
Eiffel, dans ce vélodrome où l’on entasse treize mille personnes, hommes,
femmes, enfants, vieillards, sans sanitaires suffisants, sans nourriture, sans
intimité ni endroit pour dormir et avec pour toute réponse à leurs cris de
colère et de détresse un peloton de gardes républicains armés et résolus.
Beaucoup se découragent. Pas Gabriel Wachman. Il finit par trouver un moyen de
s’échapper. Pour lui, il n’y aura pas d’Auschwitz, mais tout de même la peur,
les collabos, l’abandon, le monde hostile et cette immense douleur de ne rien
savoir de tous les siens. Il lui faudra tenir jusqu’à la fin de la guerre.
Gabriel Wachman demeure aujourd’hui l’un des rares survivants du Vél’d’Hiv.
Il nous le raconte dans un témoignage historique, poignant et inédit, enrichi
par l’écriture forte d’un auteur reconnu, Daniel Goldenberg.
S'identifier pour envoyer des commentaires.