- EAN13
- 9782897125158
- Éditeur
- Mémoire d'encrier
- Date de publication
- 02/2018
- Collection
- Poésie
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
La thématique de la migration a toujours teinté ses performances et se
retrouve dans Moi, figuier sous la neige qui traite de l’entre-deux
identitaire et des exils qui parsèment l’histoire bien personnelle de la
slameuse. Une parole qui se déploie entre l’enfance et l’âge adulte, entre le
Québec et la Tunisie. – Rose Carine Henriquez, Voir Elle aborde la poésie de
manière admirable. Il est question d’exil, d’immigration. C’est fait avec
beaucoup d’humour. – Claudia Larochelle, RDI Matin Week-end Un livre vraiment
réussi. Elkahna Talbi a beaucoup de talent comme poète. – Marie-Louise
Arsenault, Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit La slameuse Elkahna
Taibi faisait paraître récemment un premier recueil de poésie aux tonalités
chaudes comme ses origines tunisiennes, avec une franchise mordante comme les
grands froids du Montréal qu’elle habite. Un bijou à l’image de son humour,
qui traite d’exil, d’appartenance, de filiation et d’amour, surtout d’amour
pour la création, seul lieu où l’auteure se sent réellement chez elle. –
Claudia Larochelle, L’actualité
retrouve dans Moi, figuier sous la neige qui traite de l’entre-deux
identitaire et des exils qui parsèment l’histoire bien personnelle de la
slameuse. Une parole qui se déploie entre l’enfance et l’âge adulte, entre le
Québec et la Tunisie. – Rose Carine Henriquez, Voir Elle aborde la poésie de
manière admirable. Il est question d’exil, d’immigration. C’est fait avec
beaucoup d’humour. – Claudia Larochelle, RDI Matin Week-end Un livre vraiment
réussi. Elkahna Talbi a beaucoup de talent comme poète. – Marie-Louise
Arsenault, Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit La slameuse Elkahna
Taibi faisait paraître récemment un premier recueil de poésie aux tonalités
chaudes comme ses origines tunisiennes, avec une franchise mordante comme les
grands froids du Montréal qu’elle habite. Un bijou à l’image de son humour,
qui traite d’exil, d’appartenance, de filiation et d’amour, surtout d’amour
pour la création, seul lieu où l’auteure se sent réellement chez elle. –
Claudia Larochelle, L’actualité
S'identifier pour envoyer des commentaires.