• Conseillé par
    26 janvier 2017

    Balkans, Rome

    Ce roman se déroule avec comme toile de fond la ville de Rome : le narrateur s’y promène souvent, nous faisant découvrir la ville et les saisons qui rythment sa vie. J’ai aimé ces promenades dans la ville éternelle.
    Qui est vraiment Constantin ? Nous ne le saurons qu’à la toute fin du roman : ce fut une telle surprise !
    Il est souvent fait référence à un poème de Gérard de Nerval. Constantin y glisse un document important.
    Un roman que j’ai pris plaisir à lire, tentant de cerner le personnage du vieux monsieur érudit qui se prend d’amitié pour Yves.

    L’image que je retiendrai :

    Celle de la bibliothèque personnelle de Constantin que Yves et sa collègue mettent plusieurs jours à vider.

    Une citation :

    « – Eh bien Michel-Ange, c’est pareil, la coupole de Saint-Pierre, c’est l’estocade qu’il porte à Rome et à l’architecture. Depuis, Rome n’est plus qu’un cadavre abandonné dans une arène, sanglant et putrescent. » L’image ne manquait pas de vérité. »

    http://alexmotamots.fr/?p=2429